Un roman dans les yeux d’un communicant !

Nous vous présentons aujourd’hui un portrait un peu spécial. Celui de Jean-Marc Dupouy qui, en plus de ses fonctions à l’agence St John’s, s’est lancé dans l’écriture d’un roman.

 

– Qui êtes-vous ? (Bio-Express)

 

Je suis Directeur des stratégies digitales à STJOHN’S, agence de communication présente sur Bordeaux et Paris. Le conseil en communication est mon premier métier. Les nouveaux enjeux du digital et du web social me passionnent car ils remettent en cause toutes nos façons de penser et de communiquer. Sous un angle purement professionnel, je trouve qu’on vit une époque formidable !

 

– Qu’est ce qui a emmené le communicant que vous êtes dans l’écriture ?

 

J’aurai pu être acteur, auteur de BD, musicien, peintre, réalisateur… car j’ai touché à toutes ces dimensions créatives dans mes jeunes années, avec la ferme intention de faire un métier artistique. Le destin m’a guidé vers la communication, qui par bien des aspects demande une grande créativité. Il y a quelques années cependant, j’ai éprouvé un besoin irrépressible de m’exprimer. Ecrivant très souvent dans le cadre de mon activité, je me suis lancé le défi de mener à terme un roman. J’y suis parvenu, et tout auteur de roman sait à quel point cela peut représenter une forme d’effort, jubilatoire mais bien sacerdotal !

 

– Qu’est-ce qui vous a inspiré ?


Je suis très éclectique dans mes lectures et étonnement le thriller n’était pas mon genre préféré. Par contre, je suis passionné par les grands classiques de Doyle et Poe, les mystères qui semblent absolus, les atmosphères étranges… J’aime aussi les affaires criminelles et l’aberration que représentent les tueurs en série. Mon objectif premier était donc de trouver un ressort inattendu, improbable, à la limite d’un registre fantastique. Il faudra attendre la fin pour démêler le vrai du faux !

 

– Pourquoi ce pseudonyme Jean-Marc SORRE ?


Mon vrai nom (Dupouy) est landais, comme moi. J’en suis fier, mais j’ai jugé la sonorité trop éloignées d’un univers terrifiant. J’ai gardé une référence à mes origines avec ce pseudo (SORE est le lieu de  naissance de mon défunt père). Un réflexe de communiquant ? Possible ! Les sonorités ça compte.

 

– My Major Company Books, un bon moyen de faire éclore des talents ?


Mon roman a été lu par les équipes livre de Cultura et ils m’ont accompagné avec passion auprès des éditeurs. Le manuscrit n’est pas passé loin d’être retenu en comité de lecture, mais malheureusement le marché est très « animé », imposant une sélection implacable. J’ai donc choisi de proposer directement mon texte aux lecteurs et leur permettre de participer à l’édition avec My Major Company Books. D’une certaine manière, cela rejoint mon coeur de métier : associer des fans, co-produire, créer une communauté autour d’un projet… Mais sur ce site aussi il y a un comité de lecture qui jugera des qualités du récit pour ouvrir la possibilité d’édition.

 

A vous de juger en lisant les extraits et en donnant votre note en cliquant ici.

Pour en parler ou suivre l’actualité de l’auteur : facebook.com/jeanmarcsorre

 

Propos recueillis par Jordan Charlet

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